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Category Archive for ‘Général’

Beaucoup de gens que je croise, lorsque je pratique ma passion de la moto, me dise souvent les mots suivant ;

Moi, rouler en groupe ne m’intéresse pas, car, je désire être libre…

Cela me porte à une réflexion aussi spontané que réaliste, oui, il faut admettre que de rouler en style FREE BIKER, c’est de profiter au maximum de SA liberté, mais d’un autre côté, lorsque nous regardons attentivement les statistiques et que nous lisons les articles dans les journaux, où ceux ci parlent d’accidents de motos, les mêmes phrases reviennent, l’automobiliste n’a pas vu le motocycliste, et/ou il roulait à tombeau ouvert, alors, il y a lieu de se demander à quel prix j’estime ma liberté en moto.

Il est vrai, qu’en tant qu’automobiliste, j’ai un peu de misère à voir s’il y a une moto qui vient en ma direction ou qui me croise, normal, puisque faut être honnête, notre moto fait quoi en largeur, 30 pouces max. et muni d’une simple lumière d’environ 7 pouces de diamètre.   Il est aisé de croire que nous ne sommes pas très visible et inévitablement, en roulant solo, nous sommes donc à risque.

Imaginons maintenant, qu’un groupe de cinq motos, qui roulent en formation damier, pensez vous qu’ils sont plus voyants, se poser cette question est d’y répondre, bien sûr que oui, ces motos prennent la largeur de la route qui leur es permise de prendre avec autant de phare avant qu’il y a de motos.

Oui, rouler en groupe implique que je ferai moins de kilométrage que si je roule en solo…

Effectivement, c’est un bon point, car, il est évident que de rouler en groupe implique plusieurs arrêts ( toilette, cigarette, et/ou lunch qui s’étire, etc ), sauf qu’avec le temps, nous sommes gagnant, car nos saisons risquent fort bien s’échelonner sur plusieurs années additionnelles.

Sérieusement, dois je me poser une question aussi banale qu’essentiel, à savoir, brimer ma liberté au détriment de ma propre sécurité…..ma réponse, est un choix facile….je préfère rouler plusieurs années et profiter de la vie, avec tous mes membres que de vouloir, à tout prix, vivre ce sentiment totale de liberté, ce n’est que mon humble opinion et c’est le choix que j’ai fait.  Cela ne m’empêche pas de rouler en solo avec ma copine, de temps en temps, cependant, je dois admettre que rare seront les fois où vous me croiserez seul sur ma monture.

Loin de moi l’idée de dire que vous devriez rouler en groupe, ce choix vous appartient, et loin de moi de vous dire, que si vous rouler solo, vous aurez un accident.  Il n’y a rien de plus déplorable que de lire dans les journaux que nous avons perdu un des nôtres dans la pratique de sa passion.

Je n’essaie aucunement influencer votre choix, mais juste mettre les choses en perspective afin que vous puissiez profiter pleinement de plusieurs belles saisons de moto.

Une passion que certains ne comprendront pas…
J’ai acheté une moto pour réaliser un vieux rêve. Un jour, lorsque je serait rendu très vieux et que je n’aurais plus la force pour continuer de la piloter, elle restera toujours quand même avec moi, et deviendra le trophée de mes bons souvenirs.
Je me suis mouillé,
J’ai eu froid,
Et j’ai eu chaud,
J’ai eu peur,
Je suis tombé,
Mais le plus important… je me suis relevé puis j’ai continué…
J’ai très souvent éclaté de rire en moto, sans personne autour de moi, et sans aucune raison.
J’ai parlé plusieurs fois seul, avec moi-même.
J’ai chanté et crié de joie comme un fou
Oui… et parfois j’ai pleuré.
J’ai vu des endroits merveilleux et vécu des expériences inoubliables.
J’ai souvent pris des courbes dont j’étais fier, d’autres fois, j’en ai pris qui m’ont glacée le dos.
J’ai mille fois arrêté pour admirer le paysage.
J’ai parlé avec de parfaits inconnus tout au long de mes périples.
Je suis sorti en moto habité par mes démons à l’intérieur,
que j’ai abandonné en chemin pour ensuite rentrer chez moi l’esprit plus clair, et en paix avec moi-même.
J’ai toujours su que le danger me surveillait à chaque fois que je prenais la route, tout en sachant à la fois que le remède se trouvait dans le courage d’avancer et d’affronter ses craintes.
Chaque fois que j’enjambe ma machine, je pense davantage au bien qu’elle me procure plutôt qu’au mal que je peux m’infliger.
Je me suis résigné à exprimer ma passion à ceux qui ne font pas l’effort de me comprendre, au lieu de cela j’ai plutôt appris à fraterniser par des gestes de la mains avec les autres passionnés de moto que je croise sur ma route. Un langage universel.
J’ai dépensé de l’argent sans calculer pour nourrir cet amour pour la moto, et surtout mon goût pour l’aventure, mais ça n’a pas de prix, et n’en aura sans doute jamais non plus.
Une moto n’est pas juste un moyen de locomotion, ni simplement un morceau d’acier sur roues… une moto c’est une partie de soi-même, c’est notre âme et notre esprit à la fois. C’est un échantillon de notre ADN !!
Marcher vers sa moto… seul les personnes qui le font comprendront, c’est un feeling incomparable, un plaisir qui se lit sur notre visage.
J’aime faire de la moto, j’aime les gens qui partagent cette passion, et les amis qu’elle m’a permis de me faire, et j’aime aussi cette pensée des nouvelles rencontres que je vais continuer de faire grâce à elle.
Hier était merveilleux, aujourd’hui est fabuleux, mais demain sera prestigieux !! L’aventure continue… ❤

En période hivernale, tous bon motocycliste et passionné de cette activité, se voit, un brin dépérir….et tous, presque sans exception, déteste l’hiver.


Certains prendront de la MOTODYNE (vous comprenez que ce produit n’existe pas….lol)  d’autres participeront à d’autres formes d’activités, et pour d’autres, feront des projets divers (c’est l’option que j’ai choisit pour l’hiver en cours), tous, chacun d’entre nous, tente de faire passer au travers de la saison morte le plus rapidement possible.


Cependant, très peu d’entres nous savent véritablement la raison pour laquelle nous sommes en manque, si nous pouvons dire ça ainsi, de notre cheval d’acier et de nos randonnées mémorables.


À cela, je rajouterais, que les gens qui n’ont jamais fait de la moto, ne comprennent pas, que cette activité devienne notre raison d’être en période estivale.  En lisant cette étude, ces personnes pourront comprendre notre addiction à cette pratique.


Suite à ma découverte, une étude sérieuse, mené par une firme indépendante, pour et financé par Harley Davidson, a fait en sorte que j’ai investiguai d’avantage sur ce sujet, et il a été aisé de constaté, suite à la lecture de ces articles, que de faire de la moto, est une activité très bonne pour notre santé et peut remplacer, à certains égards, les anti-stress….


Texte Publié sur CARADISIAC qui résume parfaitement l’étude financé par Harley Davidson.


Conduire une voiture est une activité très stressante. Tellement qu’être derrière un volant a donné naissance au terme largement utilisé de rage au volant. Ce qui représente un comportement agressif et dangereux envers les autres. Conduire une moto, en revanche, a l’effet inverse.

C’est du moins ce que révèlent les résultats d’une étude menée par une équipe de scientifiques de l’Institut des neurosciences et du comportement humain de UCLA Semel. L’étude, financée par Harley-Davidson, a révélé plusieurs faits intéressants sur les effets de la moto, notamment une métrique accrue de concentration et d’attention comme une diminution du taux de cortisol, une hormone qui est un signe révélateur du stress.

Les chercheurs ont étudié l’activité cérébrale électrique, la fréquence cardiaque et les niveaux d’adrénaline, de noradrénaline et de cortisol des participants, mesurés avant, pendant et après la conduite d’une motocyclette. En tant que contrôle, les mêmes choses ont été mesurées avant, pendant et après la conduite d’une voiture et le repos.

Selon les conclusions de l’étude, conduire une moto pendant 20 minutes peut augmenter le rythme cardiaque de 11 % et atteindre un niveau similaire à celui obtenu lors d’un exercice léger. L’augmentation de la vigilance est similaire à celle des humains après avoir bu une tasse de café.

La découverte la plus intéressante est que la moto a eu un effet positif sur le niveau de stress, réduisant les biomarqueurs hormonaux de 28 % par rapport aux autres activités mesurées.

« Les niveaux de stress, en particulier chez les jeunes adultes, continuent d’augmenter et les gens explorent des pistes pour améliorer leur santé mentale et physique », a déclaré Don Vaughn, le principal neuroscientifique responsable de l’étude. « Jusqu’à récemment, la technologie permettant de mesurer rigoureusement l’impact d’activités telles que la moto sur le cerveau n’existait pas ».

L’étude s’intitule « Les effets mentaux et physiques de la conduite d’une moto » et sera présentée en détail plus tard cette année. Ses conclusions sont basées sur des mesures prises sur 50 motards expérimentés qui ont conduit leur propre moto sur un parcours de 22 minutes.


Voici l’étude original, en anglais, en format PDF.  Cette étude est plutôt technique, mais bon, au moins, cela démontre que cela n’est nullement de la BullShit….au contraire, très sérieuse.


Un article pas mal intéressant, puisqu’il a été écrit et signé bien avant le résultat de l’étude d’Harley Davidson…


http://www.topfashion.fr/faire-de-moto-serait-sante/


Bonne lecture à tous !!!…..

Cette phrase, « Ne roule jamais plus vite que ton Ange ne puisse voler », est une expression imagée et poétique qui signifie qu’il ne faut jamais prendre de risques excessifs, surtout au volant.


 

Signification approfondie

 

  • « Rouler plus vite » représente l’action de prendre des risques, de se hâter, de dépasser les limites raisonnables.
  • « Ton Ange » fait référence à un ange gardien, une figure protectrice symbolisant la prudence, la sécurité, ou même la chance et la bonne étoile. L’ange est là pour veiller sur vous et vous protéger.
  • « Ne puisse voler » implique que l’ange a une certaine vitesse ou capacité de réaction. Si vous allez trop vite, l’ange ne pourra pas vous suivre ni intervenir pour vous protéger en cas de danger.

 

En somme, cette expression est un appel à la prudence et à la modération. Elle suggère que vous devriez toujours agir de manière à ce que votre « ange gardien » (votre bonne étoile, votre chance, ou simplement la prudence) puisse vous suivre et vous protéger. Si vous prenez trop de risques, vous vous mettez en danger, au-delà de la capacité de protection de votre ange.

C’est une façon poétique de dire : « Sois prudent sur la route et ne te mets pas inutilement en danger. »

Seigneur,


Alors que je m’apprête à chevaucher mon bike et à me préparer pour rider, permets moi de ressentir ta présence avec moi, chevauchant à mes côtés.


Laisse nous sentir le vent qui souffle sur notre visage, ensemble.


Aide-moi à mieux voir et sentir la nature qui m’entoure lorsque je roule d’un endroit à l’autre.


Cher Seigneur, protège moi du danger et laisse les autres conducteurs me voir pendant que je roule et, de temps en temps et même si je suis un motard, laisse les me dire « bonjour ».


Garde moi alerte et toujours à l’affût des autres et permets moi d’arrêter et d’aider l’une de mes sœurs ou un de mes frères qui en a besoin.


Seigneur, je te remercie de m’avoir permis d’être un motard et de faire ce que j’aime le mieux, merci aussi pour les nombreux kilomètres parcourus et, les lieux visités avant de pouvoir enfin me reposer.


Et quand mon temps sur terre sera écoulé et qu’il sera temps pour moi de faire cette promenade dans le ciel, donne moi la chance de dire à tous que je les aime et ne m’oublie surtout pas.

La légende des Guardians Bells…

Il y a bien longtemps, par une froide nuit de décembre, un vieux biker ridé revenait du Mexique avec les sacoches remplies de jouets et de babioles pour les enfants d’un foyer, près de son travail.

Alors qu’il roulait dans la nuit froide, il pensait à la chance qu’il avait eu dans sa longue vie de motard, d’avoir une partenaire de route aimante (certains disent une camarade de jeux) qui avait compris son besoin d’errer seul sur les routes et à sa bonne vieille bécane qui ne l’avait pas laissé tomber une seule fois sur toutes les routes qu’ils avaient parcourues ensemble.

À 40 miles au nord de la frontière, se cachait un groupe de sales petites bestioles connues sous le nom de « gremlins » de la route.

Mais si, vous savez bien, ces saletés qui laissent traîner des choses sur la route comme des chaussures, des clous, et des morceaux de vieux pneus et qui passent leur temps à creuser des nids de poule. Ils accourent à chaque accident, se réjouissant vicieusement ainsi de leurs mauvaises actions.

À ce biker « loup solitaire », les gremlins avaient tendu une embuscade dans un virage serré, pour le faire tomber sur l’asphalte, ce qui arriva. Le pneu avant touchait une des sacoches qui s’était détachée. Alors qu’il gisait inanimé, incapable de bouger, les gremlins de la route ont accouru vers lui.

Ce biker n’étant pas du genre à renoncer, il s’est réveillé et a commencé à jeter toutes sortes d’objets sur les « gremlins » au fur et à mesure qu’ils approchaient et n’ayant plus que des clochettes à leur balancer, il a commencé à carillonner de toutes ses forces dans l’espoir un peu vain d’effrayer ces saletés de gremlins.

À environ un demi-mile de là, deux bikers campaient dans le désert, assis autour du feu de camp, à parler de leurs montures et la liberté, à parler du vent sur leurs visages quand ils roulaient à travers ce vaste pays.. Dans le silence de la nuit, ils ont entendu ce qui leur a semblé être une petite cloche d’église. Ils ont cherché d’où cela provenait et ont vite trouvé le vieux biker couché dans le fossé avec les gremlins sur le point de le faire passer de l’autre côté.

Inutile de dire que, faisant partie de la confrérie des bikers, ils ont aussitôt chassé les gremlins jusqu’au dernier, les laissant s’enfuir dans la nuit.

Reconnaissant envers les deux jeunes bikers, le vieux loup a proposé de les payer pour leur aide, mais comme tous les vrais bikers, ils ont refusé. N’étant pas du genre à laisser une bonne action non récompensée, le vieux motard a coupé deux morceaux de cuir de ses sacoches et a attaché une clochette à chacun des morceaux. Il les a ensuite placés sur chacune des motos de ses jeunes frères de routes, aussi près que possible du sol.

Le vieux biker a alors dit à ses jeunes frangins qu’avec ces cloches placées sur leurs motos, ils seraient protégés contre les « gremlins » de la route et que si jamais ils étaient dans l’embarras, ils n’auraient qu’à faire tinter la clochette et que des bikers viendraient alors à leur secours. Alors, quand vous verrez un motard avec une petite clochette sous sa moto, vous saurez qu’il vénère la chose la plus importante dans la vie, l’amitié d’un biker, l’amitié vraie d’un frère de route.

Beaucoup d’entre nous ont entendu cette histoire, mais il existe aussi des petits gremlins qui vivent sur votre moto où ils aiment monter. Ils sont responsables de la plupart des petits tracas de la machine. Parfois, les clignotants refusent de fonctionner, parfois la batterie est morte, parfois l’embrayage a besoin d’être réglé, ou plusieurs centaines d’autres petites choses qui gâchent la vie d’un motard. Ces problèmes sont causés par ces mauvais esprits de la route.

Toutefois, ils ne peuvent pas vivre en présence de la cloche, parce qu’ils se retrouvent piégés à l’intérieur. Leur audition est hypersensible. La sonnerie constante de la cloche sur la route et le confinement dans un aussi petit espace les rend fous. Ils perdent ainsi leur adhérence et finissent par tomber sur la chaussée, et la cloche a atteint son objectif.

Si vous accrochez une cloche « gardienne » de vos propres mains, la magie fonctionne, mais si la cloche est un cadeau, la puissance en est doublée. Vous savez que quelque part, un ami est là, prêt à vous aider. À chaque fois qu’un biker astique sa petite clochette, il se souvient des amis trop tôt disparus, et ses pensées se perdent dans le vent. Quand nous roulons et que nous entendons le son de la clochette, nous savons que nos frères et sœurs disparus « rident » avec nous en pensée, et combien il serait facile de les rejoindre avec une seule petite faute de conduite.

Pensez à vos frères de route disparus comme ils penseront à nous, aussi longtemps que nous entretiendront leur souvenir en astiquant notre clochette…

Ce texte est d’origine inconnue et est abondamment propagé sur le web, ce pourquoi, je partages avec vous, cette belle légende, que je trouve intéressante, à la fois amusante, et divulguant une réalité que l’on retrouve chez les motards ou biker (c’est comme vous voulez), l’entraide et la fraternité…

J’attends la mienne, et j’espère bien qu’un jour que l’on me donnera une belle Guardian Bell (c’est fait, j’en ai eu une, merci Guy)…..et soyez assuré que je l’installerai sur ma moto, tout comme une médaille de St-Christophe.  Non pas que je crois aveuglément à cela, mais, si cela peut m’assurer un retour chez moi, pourquoi pas….